Confrontés à un contexte inhabituel, les artistes ont dû s'y adapter, contraints parfois d'inventer des solutions pour la gestion de groupe, en vue d'arriver à des cadres permettant l'activité artistique. Cette adaptation est allée jusqu'à une décision d'afficher des règles de vie dans la « salle de motricité » où se produisait la chorégraphe.
Dans cet espace de travail principal, l'artiste "fait la discipline" et construit la règle. Elle travaille à partir d'une grande affiche qu'elle fait lire, afin que les enfants se rappellent des règles mises en place. Elle y revient si besoin pendant la séance.