Artistes des résidences achevées
Elle est diplômée de l’Ecole Régionale des Beaux arts de Valence et de l’Ecole Supérieure d’Art et Design de Saint-Étienne. Après des résidences à Lyon, Marseille, au Bénin et au Togo, Leslie Amine réalise sa première exposition personnelle en 2007 dans le cadre des Galeries nomades de l’Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne.
Son travail est avant tout une histoire de géographie, qui témoigne de sa perception d’un monde contemporain comme un monde de cohabitation et d’interaction entre éléments et objets.De 2011 à 2014, Leslie Amine est en résidence à la Maternelle Jean Macé.
Guillaume Le Moine explore les relations entre art et science en essayant de définir la place et le statut de l’image dans un contexte de globalisation.
es recherches protéiformes croisent également des notions d'architecture, d'urbanisme, de progrès et du vivant en relation aux utopies et à l'anticipation. Il expose à Lyon (2013, 2012), Grenoble (2011), Paris (2009), Toulouse (2009), mais aussi à Toronto (2012), Istanbul (2011), Moscou (2009), New York (2008)…Guillaume Lemoine était en résidence à la Maternelle Raoul Dufy de 2012 à 2014.
Giovanna Parpagiola née à Venise, formée en Italie, Belgique, aux États-Unis dans différents lieux (Trisha Brown Center, Movement Research à New York, La Raffinerie Charleroi Danse à Bruxelles…). Elle approfondit les techniques de la « post moderne dance », le « release technique » et le travail de Bartenieff- Laban.
Elle soutient une thèse de doctorat à Bologne en Sémiologie de la Danse. Elle s'installe en France en 2006, à Lyon où elle enseigne la technique de danse Contact Improvisation et mène des ateliers de danse et poésie contemporaine (ESPE).
Fondatrice en 2007 de la Compagnie DIRADA,
en collaboration avec Betty Bertrand, elle développe des projets axés
sur la notion de poésie des mots / poésie des gestes. Sous ce regard,
elle crée le cycle des Balades Poétiques (danse,
lecture, violoncelle). Le spectateur marche dans l'espace comme dans un
poème en création, la danse fait corps avec les mots, prolonge les
architectures, la plasticité et l'âme des espaces.
Elle crée des environnements poétiques : vidéo-poèmes, installations sonores et tactiles. Le spectacle pour enfants La Chambre d'Émilie est un exemple de cette recherche : transposition chorégraphique d'un album illustré. On tourne les pages du livre, un ballet d'objets prend vie. La poésie toujours complice, « éveilleuse de conscience », souffle dans ces matières et pousse à un état d'imprégnation que Giovanna aime véhiculer dans son travail.
Giovanna Parpagiola a été en résidence à l'école maternelle Les Dahlias (Lyon 9ème) en 2011-2012.